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Conseils Bien-être

Pénurie de vaccins : que se passe-t-il vraiment ?

13 février 2017


Les parents qui souhaitent faire vacciner leur enfant contre la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos (vaccin DTP, obligatoire en France) ont un gros problème.

Depuis le mois de septembre 2014, ce vaccin n’est plus disponible en pharmacie. Il y a une rupture de stock. Or, des sanctions pénales sont prévues contre les parents en cas de non-respect des vaccinations obligatoires. Prison et amendes, voici ce que dit la loi :

« Le refus de se soumettre ou de soumettre ceux sur lesquels on exerce l’autorité parentale ou dont on assure la tutelle aux obligations de vaccination prévues aux articles L.3111-2, L. 3111-3 et L. 3112-11 ou la volonté d’en entraver l’exécution est puni de six mois d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende. »

Dilemme insurmontable

Au-delà d’un débat scientifique nécessaire et légitime sur l’utilité et les dangers de cette vaccination, mais qui est interdit de fait par les Autorités de santé française, parents et médecins sont confrontés à un dilemme insurmontable dans l’état actuel des choses :

le seul vaccin DTP sans aluminium a été retiré du marché en juin 2008. Les laboratoires Mérieux, qui disposent toujours aujourd’hui d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour ce vaccin, en ont cessé la production. Cela veut dire que, depuis 7 ans maintenant, les parents n’ont pas d’autre choix que de faire injecter à leurs enfants un vaccin contenant un des pires poisons qui soient. Pour rappel, l’aluminium est un dangereux neurotoxique (toxique pour les nerfs et le cerveau). Il est soupçonné de provoquer la maladie de Parkinson.


Depuis le mois de septembre 2014, la situation est encore plus absurde. Même les vaccins DTP avec aluminium sont devenus introuvables en pharmacie. Les représentants des deux labos qui produisent ces vaccins (GlaxoSmithKline et Sanofi) viennent d’informer les pharmacies qu’ils ne les commercialiseront pas en 2015 et sans doute pas non plus en 2016.

Pour respecter leur obligation vaccinale, les parents se trouvent dans l’obligation de faire injecter à leurs enfants un vaccin dit « hexavalent », le seul qui contienne encore le DTP. Et pourquoi ? Figurez-vous il a un « immense avantage » !!!

En effet, il contient un cocktail de 3 vaccins avec aluminium (coqueluche, Haemophilus influenzae et hépatite B), dont les conséquences sur le système immunitaire immature des enfants ne sont ni mesurées, ni maîtrisées.

Dangers du vaccin hexavalent

Il existe un débat sur les « simples » vaccins, qui ne concernent qu’une maladie, avec encore récemment le scandale des décès en Italie et la mort de deux enfants en France officiellement reconnue comme causée par le vaccin contre la gastro. L’un des nourrissons avait reçu une injection de Rotarix, du laboratoire GSK, et l’autre s’était vu administrer le vaccin Rotateq de Sanofi Pasteur MSD.

Mais les vaccins « hexavalents », qui prétendent immuniser contre 6 maladies graves d’un coup, sont plus controversés encore.

Les travaux du Pr Gherardi (Inserm) et du Pr Authier (Institut de Recherche médicale Henri Mondor) ainsi que ceux d’autres chercheurs étrangers ont montré que ces vaccins seraient neurotoxiques. Ils entraîneraient des maladies dégénératives et auto-immunes par la quantité de vaccins injectés au cours de la première année de vie alors que le système immunitaire du nourrisson est fragile.

Pratiqués sur des petits de quelques semaines seulement, ils fonctionnent en déclenchant une tempête du système immunitaire dont il est tout à fait normal de redouter les conséquences, aussi bien sur le long terme, avec les maladies auto-immunes, que sur le cours terme, avec un choc anaphylactique. (Un choc anaphylactique est un accident potentiellement mortel provoqué par un emballement de nos défenses naturelles qui inondent l’organisme de cellules et messagers immunitaires).

À noter que le calendrier vaccinal recommande en effet de réaliser le même jour le vaccin Prévenar, qui comporte pas moins de 13 valences de pneumocoques (nombre de maladies contre lesquelles le vaccin est censé protéger). Or, les réactions neurologiques peuvent augmenter lorsque l’on combine ces différents vaccins.

De plus, à deux mois, la barrière hémato-encéphalique des enfants n’est pas achevée. Il s’agit de la barrière naturelle qui protège le cerveau des toxines pouvant être présentes dans le flux sanguin. C’est la raison pour laquelle injecter à un nourrisson un produit chargé en aluminium serait bien plus problématique encore que chez l’adulte, avec un risque important de dépôts d’aluminium dans le cerveau.

L’ombre menaçante de la sclérose en plaques

Comme si cela ne suffisait pas, le vaccin contre 6 maladies (dit « hexavalent ») contient le redoutable vaccin contre l’hépatite B, dont on n’a jamais vraiment su s’il pouvait déclencher ou non la sclérose en plaques.

Rappelons que l’hépatite B est une maladie que vous n’attrapez pas comme la grippe ou les oreillons. Il est raisonnable d’envisager la vaccination que pour les personnes ayant des comportements à risque ou travaillant en étroite relation avec ce type de public (infirmières, éventuellement travailleurs sociaux).

Un petit bébé élevé dans des conditions normales a aucune raison d’attraper l’hépatite B, et donc de courir les risques liés à la vaccination.

Les parents sont bien mis dans une situation intenable par les autorités.

Ce dossier accablant oblige les parents à choisir entre fermer les yeux et se boucher les oreilles (une option choisie par l’écrasante majorité), ou s’informer et, dans la mesure du possible, agir avec les moyens légaux qui leur restent.

Et malheureusement, dans ce domaine, l’horizon semble plutôt bouché. Le Conseil Constitutionnel, dans une décision du 20 mars 2015, a donné tort à deux parents, les époux Larère, qui justement avaient signalé la situation absurde dans laquelle ils se trouvaient vis-à-vis de leur obligation vaccinale DTP et avaient renoncé à faire vacciner leurs deux enfants.

Cette décision, qui paraît contraire à la Loi Kouchner du 4 mars 2002 sur la liberté de choix thérapeutique, semble d’autant plus anachronique que le vaccin DTP n’est plus obligatoire dans aucun pays d’Europe en dehors de la France [1] !

Au lieu de faire pression sur les laboratoires pour qu’ils fournissent un vaccin sans adjuvants dangereux et sans souche de maladies superflues, les autorités choisissent donc de sanctionner les parents, tout en les obligeant à faire courir des risques inutiles à leurs enfants (la suite ci-dessous).

Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives.